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Rénovation énergétique des bâtiments tertiaires : obligations, aides et solutions

Face à l’urgence climatique et aux exigences réglementaires croissantes, la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires est désormais une nécessité incontournable. Le secteur tertiaire, qui représente près de 30 % de la consommation d’énergie en France, est au cœur des politiques de transition énergétique, notamment à travers le Décret Tertiaire.

23/04/2024

Cette réglementation impose une réduction progressive des consommations d’énergie, sous peine de sanctions financières et administratives.

Mais comment se conformer à ces obligations sans exploser son budget ? Comment transformer cette contrainte en une opportunité d’optimisation des coûts et de valorisation de son patrimoine immobilier ?

Dans cet article, nous vous expliquons en détail les exigences du Décret Tertiaire, les aides financières mobilisables et les meilleures stratégies pour réussir votre rénovation énergétique

Que vous soyez propriétaire, gestionnaire ou exploitant d’un bâtiment tertiaire, découvrez comment concilier performance énergétique, conformité réglementaire et retour sur investissement.

Comprendre les enjeux de la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires

Qu’est-ce qu’un bâtiment tertiaire ?

Le terme bâtiment tertiaire désigne l’ensemble des constructions dédiées aux activités de services, par opposition aux bâtiments résidentiels ou industriels. 

Il englobe une grande variété de structures : bureaux, commerces, hôtels, établissements de santé, bâtiments administratifs, équipements culturels et sportifs, entre autres. 

Autrement dit, tout espace où l’on travaille, vend, soigne, accueille ou enseigne entre dans cette catégorie.

Pourquoi la rénovation énergétique est-elle primordiale ?

La rénovation énergétique des bâtiments tertiaires n’est plus une simple option : c’est une nécessité stratégique, dictée à la fois par des impératifs environnementaux, économiques et sociétaux

Face aux défis du changement climatique et à la raréfaction des ressources, repenser la performance énergétique des bâtiments s’impose comme une priorité.

◎ Un levier clé pour la transition écologique

Le secteur du bâtiment est l’un des principaux émetteurs de gaz à effet de serre en France. À titre de comparaison, construire un bâtiment neuf génère en moyenne 1 500 kg de CO₂/m², contre 250 à 500 kg de CO₂/m² pour une rénovation énergétique bien menée

Rénover plutôt que reconstruire permet ainsi de préserver les ressources, limiter l’artificialisation des sols et réduire drastiquement l’empreinte carbone du parc immobilier tertiaire.

◎ Une réponse à la crise économique et immobilière

Dans un contexte où la construction neuve est freinée, la rénovation énergétique s’impose comme une alternative évidente. 

Plutôt que d’investir dans des projets de construction souvent coûteux et longs à rentabiliser, les propriétaires de bâtiments tertiaires peuvent optimiser l’existant, tout en valorisant leur patrimoine immobilier.

◎ Un enjeu économique majeur

Au-delà des aspects réglementaires, la rénovation énergétique est un investissement rentable. 

Un bâtiment rénové consomme jusqu’à 40 % d’énergie en moins, ce qui se traduit par une baisse significative des factures énergétiques. 

De plus, grâce aux dispositifs d’aides publiques et aux incitations fiscales, le retour sur investissement peut être accéléré, rendant les travaux d’amélioration plus accessibles.

◎ Améliorer la performance et le confort des bâtiments

Un bâtiment énergétiquement performant n’est pas seulement plus économique et écologique, il est aussi plus confortable et attractif

Température mieux régulée, qualité de l’air améliorée, réduction des nuisances sonores : autant de critères qui influencent le bien-être des occupants et augmentent la valeur d’usage des espaces tertiaires.

En somme, la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires est une opportunité à saisir, à la fois pour répondre aux exigences du Décret Tertiaire et pour transformer son patrimoine en un levier de performance durable.

Le cadre réglementaire : le décret tertiaire et ses exigences

Qu’est-ce que le décret tertiaire ?

Entré en vigueur dans le cadre de la loi ÉLAN (Évolution du Logement, de l'Aménagement et du Numérique), le Décret Tertiaire impose aux bâtiments du secteur tertiaire une réduction progressive de leur consommation énergétique. L’objectif est clair : atteindre une diminution de 40 % d’ici 2030, 50 % en 2040 et 60 % en 2050, par rapport à une année de référence choisie à partir de 2010.

⫸ Qui est concerné ?

Le Décret Tertiaire s’applique à tous les bâtiments à usage tertiaire, dès lors que la surface d’exploitation dépasse 1 000 m²

⫸ Quels sont les risques en cas de non-conformité ?

Ne pas respecter les obligations du Décret Tertiaire expose les propriétaires et exploitants à plusieurs sanctions. 

En cas de non-déclaration des consommations sur la plateforme OPERAT, une mise en demeure peut être prononcée. 

Si les objectifs de réduction ne sont pas atteints et qu’aucune action corrective n’est engagée, des pénalités financières pouvant atteindre plusieurs milliers d’euros sont applicables. 

De plus, une publicité des manquements ("name and shame") peut être effectuée, impactant directement l’image et la valorisation des actifs immobiliers concernés.

Comment se conformer au Décret Tertiaire ?

Respecter les exigences du Décret Tertiaire nécessite une approche méthodique et structurée. 

Il ne s’agit pas seulement d’engager quelques travaux d’isolation ou de moderniser un système de chauffage, mais bien de mettre en place une stratégie globale de réduction des consommations énergétiques

Cette démarche repose sur trois étapes clés : 

  1. Réaliser un audit énergétique pour définir un plan d’action
  2. Déclarer ses consommations sur la plateforme OPERAT
  3. Mettre en œuvre des actions concrètes pour réduire la consommation

Quelles sont les aides financières disponibles pour la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires ?

Les aides de l’État et des collectivités locales

Réaliser une rénovation énergétique des bâtiments tertiaires représente un investissement important, mais heureusement, plusieurs dispositifs d’aide peuvent permettre d’alléger la facture. 

Les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) : un levier de financement majeur

Créé par l’État, le dispositif des CEE impose aux fournisseurs d’énergie (électricité, gaz, fioul, etc.) de financer des actions d’amélioration de l’efficacité énergétique. Concrètement, ces derniers doivent acheter des "certificats" auprès des entreprises et collectivités réalisant des travaux de rénovation énergétique. En échange, les bénéficiaires perçoivent une prime énergie, dont le montant varie selon la nature des travaux et les économies d’énergie générées.

Les CEE peuvent financer une large gamme d’actions, notamment :

  • Isolation thermique des murs, toitures et planchers bas.
  • Modernisation des équipements de chauffage et de ventilation (remplacement de chaudières, pompes à chaleur, optimisation des systèmes CVC).
  • Optimisation de l’éclairage par le passage à des systèmes LED performants.  

Le Fonds Chaleur de l’ADEME : un soutien aux énergies renouvelables

Mis en place par l’ADEME (Agence de la transition écologique), le Fonds Chaleur vise à encourager le recours aux énergies renouvelables dans les bâtiments tertiaires. Il finance en partie :

  • Les réseaux de chaleur alimentés par la biomasse, le solaire thermique ou la géothermie.
  • L’installation de pompes à chaleur et de chaufferies bois.
  • Le développement de la récupération de chaleur fatale (valorisation de la chaleur produite par des équipements ou procédés industriels).  

L’objectif de ce fonds est de réduire la dépendance aux énergies fossiles tout en améliorant la performance énergétique des bâtiments.

Les aides régionales et locales : un complément précieux

En plus des dispositifs nationaux, de nombreuses régions, départements et municipalités proposent des aides spécifiques à la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires. Celles-ci peuvent prendre la forme de :

  • Subventions directes pour financer les études énergétiques et les travaux.
  • Exonérations fiscales, comme des réductions de taxe foncière pour les bâtiments rénovés.
  • Prêts à taux bonifié, accessibles via certaines collectivités en partenariat avec des banques publiques.  

Ces dispositifs varient selon les territoires. Il est donc recommandé aux propriétaires et gestionnaires de se renseigner auprès des conseils régionaux, des chambres de commerce ou encore de l’ADEME locale pour connaître les aides disponibles.

Les financements spécifiques pour les entreprises et collectivités

◎ Les prêts à taux réduits : une solution accessible

Les prêts BPI France : La Banque Publique d’Investissement propose des prêts spécifiques dédiés aux entreprises souhaitant améliorer leur efficacité énergétique. Ces prêts peuvent aller de quelques milliers à plusieurs millions d’euros, avec des conditions de remboursement adaptées aux cycles d’investissement des entreprises.

◎ Un accompagnement d’experts pour optimiser le financement

Accéder à ces aides et financements demande une maîtrise des dispositifs existants ainsi qu’une bonne préparation des dossiers. De nombreuses entreprises spécialisées dans la rénovation énergétique, comme Horizen, proposent un accompagnement sur mesure pour :

  • Réaliser un audit énergétique détaillé, justifiant l’éligibilité aux aides.
  • Identifier les meilleures options de financement en fonction du projet.
  • Gérer les démarches administratives pour sécuriser les subventions et prêts disponibles.  

◎ Anticiper pour maximiser les financements

Obtenir ces aides demande une préparation rigoureuse : diagnostics énergétiques, chiffrage des travaux, constitution de dossiers administratifs… Mais en anticipant ces démarches, il est possible de réduire considérablement l’investissement initial et d’accélérer le retour sur investissement de la rénovation énergétique. Un levier incontournable pour concilier performance économique et transition écologique.

La meilleure stratégie pour une rénovation énergétique efficace et rentable

Réaliser un audit énergétique

Avant d’engager des travaux de rénovation énergétique des bâtiments tertiaires, il est essentiel de réaliser un audit énergétique approfondi. Cette démarche permet de cartographier précisément les consommations, d’identifier les principaux gisements d’économies d’énergie et d’orienter les décisions en fonction des priorités techniques et financières.

Un diagnostic pour identifier les principaux postes de consommation

L’audit énergétique consiste à analyser les données de consommation d’un bâtiment tertiaire et à comprendre son fonctionnement énergétique global. Il s’appuie sur plusieurs étapes clés :

  • Collecte des données : relevés de consommation, plans du bâtiment, systèmes de chauffage, ventilation, éclairage, etc.
  • Inspection des équipements : évaluation de la performance thermique des enveloppes (isolation, fenêtres, ponts thermiques) et du rendement des installations.
  • Analyse des usages et des comportements : prise en compte de l’occupation du bâtiment et des pratiques qui influencent la consommation.

L’objectif est de dresser un état des lieux détaillé afin d’identifier les sources majeures de pertes d’énergie et de proposer des pistes d’amélioration adaptées.

Les actions prioritaires pour réduire la consommation énergétique

Optimiser la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires ne signifie pas nécessairement investir immédiatement dans des solutions coûteuses. Certaines actions rapides et peu onéreuses permettent de réduire immédiatement les consommations énergétiques, avant d’envisager des rénovations plus structurelles.

C’est dans cette optique que trois catégories d’actions peuvent être distinguées : les "quick-win", les opportunités et les actions volontaristes.

1. Les "quick-win" : des mesures immédiates et efficaces

Les quick-win sont des actions simples à mettre en œuvre, ne nécessitant que peu d’investissement et générant des résultats rapides sur la consommation énergétique.

Quelques exemples d’actions à impact immédiat :

Sensibilisation des usagers : former et informer les occupants sur les bonnes pratiques énergétiques (éteindre les lumières, limiter le chauffage et la climatisation, etc.).

Mise en place de consignes de température : abaisser la température en hiver (19°C en journée, 16°C la nuit) et limiter la climatisation en été.

Installation de détecteurs de présence et minuterie : pour éviter l’éclairage inutile dans les espaces peu fréquentés.

Régulation automatique via une GTB (Gestion Technique du Bâtiment) : pilotage intelligent des équipements pour optimiser la consommation sans impact sur le confort des usagers.

Ces premières initiatives, faciles à déployer, permettent souvent d’économiser jusqu’à 10 à 15 % d’énergie sans nécessiter d’investissement lourd.

2. Les actions "d’opportunité" : tirer parti des moments stratégiques

Ces actions profitent d’un contexte particulier pour être mises en œuvre. Il peut s’agir du remplacement d’un équipement en fin de vie, d’une subvention disponible ou encore d’une évolution réglementaire incitant à agir.

Quelques exemples d’actions à saisir au bon moment :

  • Remplacement d’équipements vétustes : lorsqu’une chaudière, un climatiseur ou un système d’éclairage arrive en fin de vie, opter pour des solutions plus performantes (pompe à chaleur, LED, ventilation double flux).
  • Réhabilitation énergétique subventionnée : profiter d’aides financières comme les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) ou le Fonds Chaleur de l’ADEME pour financer des travaux d’amélioration énergétique.
  • Adaptation aux évolutions réglementaires : anticiper les nouvelles normes, comme les exigences du Décret Tertiaire, en réalisant les rénovations avant les échéances légales.

Saisir ces opportunités permet de réduire l’investissement initial et d’optimiser les coûts tout en améliorant la performance énergétique du bâtiment.

3. Les actions "volontaristes" : une transformation durable et ambitieuse

Ces initiatives impliquent un investissement plus conséquent, mais garantissent des bénéfices à long terme en matière d’efficacité énergétique, de valorisation du patrimoine et de réduction de l’empreinte carbone.

Parmi les stratégies les plus impactantes :

  •  Isolation thermique des bâtiments : rénover l’enveloppe du bâtiment (murs, toitures, fenêtres) permet de limiter les pertes énergétiques et de réduire significativement les besoins en chauffage et en climatisation.
  • Optimisation des systèmes CVC (chauffage, ventilation, climatisation) : remplacement des anciennes installations par des équipements basse consommation, installation de récupérateurs de chaleur, ventilation optimisée.
  •  Intégration des énergies renouvelables : installation de panneaux photovoltaïques, géothermie, ou récupération de chaleur fatale pour une plus grande autonomie énergétique.

Même si ces investissements nécessitent un budget plus important, ils s’inscrivent dans une logique d’économies à long terme, avec un retour sur investissement souvent inférieur à 10 ans et une valorisation significative du bâtiment sur le marché immobilier.

L’importance de la gestion et du suivi énergétique

La rénovation énergétique des bâtiments tertiaires ne s’arrête pas à la mise en place de solutions techniques et d’améliorations structurelles. Pour garantir une réduction durable de la consommation énergétique, il est essentiel d’adopter une stratégie de gestion et de suivi des performances. Deux leviers majeurs permettent d’optimiser cette démarche : le monitoring des consommations et la sensibilisation des occupants.

Un suivi énergétique précis grâce au monitoring des consommations

Mettre en place un système de suivi énergétique permet d’identifier les postes les plus énergivores et d’agir de manière ciblée. Grâce aux nouvelles technologies, il est aujourd’hui possible de :

  • Surveiller en temps réel la consommation des équipements via des capteurs intelligents.
  • Analyser les tendances de consommation et détecter les anomalies (surchauffe, surconsommation, dysfonctionnements).
  • Définir des seuils d’alerte pour ajuster les usages et éviter tout gaspillage.
  • Optimiser les réglages des équipements (chauffage, ventilation, éclairage) en fonction de l’occupation réelle du bâtiment.

Les systèmes de gestion technique du bâtiment (GTB), combinés à des outils de reporting énergétique, permettent ainsi aux propriétaires de bâtiments tertiaires d’assurer une maîtrise continue des consommations et d’adapter leurs stratégies en fonction des résultats obtenus.

La sensibilisation des occupants : un levier clé pour des économies durables

Même les meilleures installations ne suffisent pas si les occupants du bâtiment n’adoptent pas de bonnes pratiques. La composante humaine est un facteur déterminant pour garantir l’efficacité d’une rénovation énergétique des bâtiments tertiaires.

 Les actions à mettre en place :

  • Former et impliquer les utilisateurs via des campagnes de sensibilisation sur les gestes simples qui permettent de réduire la consommation (extinction des lumières, réglage du chauffage, utilisation raisonnée de la climatisation).
  •  Miser sur l’affichage dynamique : un écran interactif indiquant en temps réel la consommation du bâtiment et les économies réalisées peut inciter à une prise de conscience collective.
  •  Créer des challenges internes : par exemple, des concours entre services ou entre bâtiments pour réduire la consommation sur une période donnée.
  •  Nommer des référents énergie qui veillent au respect des bonnes pratiques et relaient les consignes auprès des usagers.

Un bâtiment rénové ET bien géré garantit des économies d’énergie durables et une valorisation du patrimoine immobilier.

Audit pour la rénovation énergétique d'un bâtiment tertiaire

Agissez dès aujourd’hui pour optimiser la performance énergétique de votre bâtiment tertiaire

Qu’il s’agisse d’optimiser votre consommation, de moderniser vos installations ou de bénéficier des aides financières disponibles, chaque action menée aujourd’hui garantit des économies durables et une valorisation accrue de votre patrimoine immobilier.

Cependant, réussir un tel projet demande une expertise pointue et une approche sur mesure. 

Par où commencer ? Un audit énergétique est la première étape clé pour identifier les gisements d’économies et prioriser les actions les plus rentables.

Ensuite, la mise en place de solutions adaptées – qu’il s’agisse de la gestion technique du bâtiment (GTB), de l’isolation ou des équipements à haute performance – permet d’atteindre les objectifs réglementaires tout en améliorant le confort des occupants.

Passez à l’action avec HORIZEN

Chez HORIZEN, nous vous accompagnons à chaque étape de votre projet :

Diagnostic énergétique personnalisé pour identifier les leviers d’amélioration.

Optimisation du financement grâce aux dispositifs d’aides (CEE, Fonds Chaleur, subventions locales).

Déploiement de solutions performantes et adaptées à vos besoins.

Ne laissez pas les contraintes du Décret Tertiaire freiner votre transition énergétique. Contactez dès aujourd’hui un expert HORIZEN pour un accompagnement sur mesure et donnez à votre bâtiment une nouvelle efficacité énergétique.

Découvrez nos références

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APPRENTIS D’AUTEUIL - Schéma Directeur Immobilier et Énergétique

  • 130 bâtiments étudiés en Ile-De-France
  • 83 bâtiments soumis au décret tertiaire

Solutions proposées pour atteindre les objectifs du décret tertiaire :

  • 2030 : GTB, remplacement des équipements techniques et sensibilisation des occupants
  • 2040 : pompe à chaleur, isolation des murs, des toitures et remplacement du vitrage
  • 2050 : panneaux photovoltaïques et CTA double flux, ...

Performances énergétiques :

  • Gain énergétique : - 50 % soit 8 191 MWhef/an
  • Consommations après réalisation du scénario 3 : 7 900 MWhef/an